Dans quelques jours, ça fera 10 ans que je suis maman : 10 ans que je vois Matys, puis Noam, s’éveiller, apprendre et découvrir au quotidien. Quand Noam est né, en 2019, j’ai adoré ressortir les jeux avec lesquels Matys jouait quand il était petit. Un paquet de souvenirs sont remontés à la surface, et un paquet d’autres souvenirs se sont créés depuis avec Noam ! Et parmi les jouets préférés de Matys et Noam, plusieurs viennent de chez Oxybul. Alors quand leurs équipes nous ont proposé de découvrir d’autres Créations Oxybul, ont a accepté avec plaisir ! 🙂
Les Créations Oxybul : pour accompagner l’enfant au quotidien
Les Créations Oxybul ont été lancées il y a 30 ans : ces jeux sont pensés pour accompagner l’enfant au quotidien. Au fur et à mesure de son développement, il acquiert de nouvelles compétences : ça passe autant par l’interaction sensorielle que motrice. La taille, la forme, les couleurs : tout est pensé en fonction de l’enfant. J’avais d’ailleurs entendu parler il y a quelques années du programme Parent Pilotes qui testent les jeux, avec des professionnels de la petite enfance, auprès d’enfants avant le lancement officiel.
Concrètement, les Créations Oxybul sont réparties en plusieurs marques, qui couvrent chacune des apprentissages spécifiques :
- Sensibul : pour les activités sensorielles favorisant l’éveil de bébé
- Manibul : pour les jeux de manipulation favorisant la motricité fine
- Trotibul : pour les jeux de motricité favorisant la marche et l’activité physique
- Educabul : pour tous les jeux à visée éducative qui accompagnent les apprentissages développés à l’école
Bref, de quoi occuper nos p’tites têtes blondes durant de longues heures 😉
Les Créations Oxybul : des jeux adaptés dès les premiers mois
J’en parlais déjà ici et sur Instagram il y a plus de deux ans : dès ses 3 mois, Noam a adoré sa peluche sensorielle Axel en forme d’hippopotame. Une pépite sensorielle avec un petit hochet à billes, différentes textures, un miroir, un oiseau qui fait pouet pouet … une valeur sûre ! Pour les sorties, on a craqué pour la fleur d’activités, pratique à accrocher à la poussette pour ne pas la perdre. Et enfin quand Noam a commencé à rampé, il s’est prit de passion pour son banc à marteler ! 100% bois, il pouvait passer de longues minutes à y jouer et il lui a permis de comprendre la relation de cause à effet – je tape, ça tombe!! 🙂
… et dès 18-24 mois pour développer la motricité !
Dans la famille Manibul je voudrais … le bus pop-up ! Noam l’a immédiatement adopté – il est fan de véhicules en général. Sa particularité ? Il permet de travailler la motricité : quand l’enfant appuie sur les bonhomme colorés, il peut les faire sauter du bus. On peut également appréhender les couleurs primaires. Et évidemment le faire rouler au fil des aventures que Noam imagine ! Bref, c’est le jeu favori du moment pour Noam, il éclate de rire à chaque fois qu’il l’utilise 🙂
Isolé de la crèche durant plusieurs jours à cause de la grippe, Noam s’est pris de passion pour ce jeu tourner / visser ! J’ai été impressionnée par sa dextérité. On lui en avait offert un similaire à Noël, trouvé chez Hema, mais il était beaucoup plus petit et Noam avait du mal à manipuler les pièces. Avec celui-ci, aucun souci : il est à la taille idéale pour que Noam puisse tourner et visser les différents éléments. Au-delà du côté toujours ultra ludique et du design en bois agréable, on retrouve un aspect 3 en 1 ! Les pièces colorées permettent de travailler les couleurs, et les 4 socles s’emboitent à l’image d’un puzzle.
Et après 2 ans 1/2, les Créations Oxybul pour se préparer à la rentrée scolaire !
Et comme à la rentrée, Noam ira à la Maternelle, on découvre la gamme Educabul : toujours aussi ludique, on l’utilise pour familiariser en douceur Noam avec les lettres. Les lettres magnétiques, c’est un indispensable qui ouvre le champ des possibles. Matys avait adoré au même âge ! Aimantées, elles permettent à l’enfant d’appréhender l’alphabet par la manipulation. Proposer un tri en fonction des lettres similaires (ou des couleurs!), découvrir les voyelles et consonnes, écrire des syllabes ou des mots, prendre une lettre comme exemple et s’entrainer à la tracer avec le doigt sur un plateau rempli de semoule ou de sable … Bref! Je fourmille d’idée, et elles constituent un support idéal.
L’étape d’après ? Les calculs ! Soyons clairs : ça ne sera pas avant la fin d’année prochaine pour Noam, mais une fois qu’il a compris le concept des lettres aimantées il a adorer coller ces chiffres au radiateur haha ! En plus des chiffres aimantés, on retrouve les symboles permettant de travailler les calculs : divisons, multiplications, additions, soustractions... Un basique facile à manipuler qui permet de mêler le jeu à l’apprentissage, en augmentant petit à petit la difficulté.
Et avant l’étape des calculs, on propose donc à Noam ce plateau qui permet de travailler à la fois la découverte des chiffres, celle des quantités et celle des couleurs. En bois toujours, aussi beau que bien pensé. Noam arrive très bien à manipuler les différents jetons pour les encastrer. Je sens qu’il va nous occuper tout l’été 😉
Les jeux de société Créations Oxybul !
Que serait un samedi après-midi pluvieux sans un bon jeu de société ? Bon, je ne vous présente pas le concept du loto, c’est un peu un incontournable. Les Créations Oxybul l’on revisité en deux versions : celui des animaux et celui des couleurs. Comme on avait déjà pas mal de jeux pour travailler les couleurs, on a opté pour celui des animaux ! Un graphisme adorable et cartoonesque et une classification thématique : les animaux de la ferme, de la mer, de compagnie, de la forêt, de la savane… À chaque carte retournée, on invite Noam a répéter le nom de l’animal – et il se prête joyeusement au jeu. Oui, oui, on en profite pour développer son vocabulaire aussi ! 😀
Et pour l’heure du bain … ?
Et pour bien finir la journée, hop, on passe par la case bain avec ce petit circuit ! Il y a encore quelques mois, Noam nous a fait une phase de rejet total du bain. C’est en introduisant des jeux qu’il a accepté d’y retourner sans pleurer (ouf). Avec ce petit circuit, il identifie à nouveau les relations de cause à effet : en faisant couler de l’eau sur le canard, il peut voir que ça le fait glisser de plateforme en plateforme. Et en prime c’est un jeu facile à faire sécher, on valide à fond 😉
Merci encore aux équipes Oxybul pour ces chouettes découvertes, et pour nous retrouver au quotidien (et voir à quel point Noam trouve 1001 façons d’utiliser ses jouets, en fonction de son âge!) rendez vous sur Instagram 🙂
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